Fort des découvertes scientifiques de Messieurs Darwin et
Bouggainvillier, je me suis lancée dans l’étude approfondie d’une espèce
particulière de la faune troglodyte de l’Insula Francia (comprenez Ile de France).
Comme son nom l’indique, dans cet ilôt de bêton, les autochtones ne peuvent
vivre communément aux autres espèces du pays, de leur cueillette ou de leur
chasse. Nous avions mené il y a un an déjà … mon dieu que le temps passe vite !
… une étude sur le comportement d’une espèce en particulier : le
Chenapantus Morpionibus.
Maître Ours s’est associé à mon étude, très intéressé par
les nouvelles découvertes que nous pourrions bien faire. Aussi, nous demandâmes
à notre ancien sujet de bien vouloir nous rejoindre afin d’en apprécier les
évolutions comportementales. Nous avions émis l’hypothèse selon laquelle, un
Chenapanus Morpionibus pouvait être beaucoup plus docile en milieu naturel qu’entouré
de ses congénères.
Après un long et périlleux trajet dont la beauté de la
nature a quelque peu bouleversé l’image grisâtre et sans âme de son parc de l’Insula
Francia, Mike, notre précieux sujet, arrive tout sourire aux lèvres à la
caverne. A notre accoutumé, nous l’avons accueilli avec bienveillance et
beaucoup d’enthousiasme. Nous apprécions toujours ces belles rencontres entre
espèces différentes. De quoi enrichir nos connaissances de quelques spécialités
de qualité. Nous pensions ainsi, avoir un peu de temps devant nous et ne
commencer nos études sur notre sujet que le lendemain matin. Mais c’était sans compter
sur l’esprit taquin du Chenapantus Morpionibus. Nous savions que la période d’étude
nous serait difficile de par le trait de caractère dominant de cette espèce.
Mais nous pensions avoir un peu de temps libre devant nous. Notre patience a
duré jusqu’au contact avec une espèce très proche mais vivant en Avernis que
nous devons rencontrer à l’issue de cette première étude.
Notre Chenapantus Morpionibus Mike nous fit l’honneur d’ouvrir
les festivités en nous provoquant sur notre incapacité à le rendre docile.
Devant cet affront, et sachant que nous aurions a recommencé l’étude pour le
deuxième spécimen, nous décidâmes de montrer la séance par webcam interposée au
spécimen d’Avernis.
Mike fut placé en appui sur le dossier du grand fauteuil en
cuir rouge du Maître des lieux. Le contact avec cette matière est très sensuel
et nous incite à espérer une plus grande emprise sur notre sujet. Sa grande taille est un atout pour ce type de
position. Elle lui permet de bien se courber et de frotter agréablement la
matière.
Bien évidemment, Mike ne se laissa pas faire. Sa réputation,
d’après ce qu’il nous dit, veut qu’il soit le meilleur des Chenapentus
Morpionibus. Et de ce statut, il se devait de ne pas céder facilement à la
moindre source d’autorité. Maître Ours en accord avec ma proposition, récupéra
quelques instruments qui, espérons-le, aurait raison de cette provocation. Mais
pour asseoir notre prise en main en début de session ainsi que pour la
transition avec le deuxième spécimen, nous avons allumé la webcam.
Mike semblait très gêné par cette situation. Gesticulant à
droite et à gauche. Tentant en vain de garder sur lui des vêtements qui ne servaient
strictement à rien, nous finîmes par exposer sa totale anatomie à nos regards. Le
visage de Mike affiché quelque rictus de gênes et comme une certaine excitation
aussi. Si nous nous en tenons à ce que nous avons pu constater jusqu’à présent
sur la précédente étude.
Il est temps de commencer l’étude. Nous avons décidé qu’une
fessée à la main introduirait l’étude, puis viendrait le martinet, suivi des
verges et enfin la canne. Dans cet ordre, la puissance des coups iraient
crescendo afin d’apprécier chaque étape du processus. Nous souhaitons avoir un
impact fort dès le départ condition siné qua non pour réussir notre hypothèse.
Puis nous avons commencé le traitement numéro 1 propre
à la prise en main. Cela est propre à
nos processus d’étude. Nous sommes dans l’obligation de nous imposer dans un
premier temps afin d’obtenir une meilleur écoute et obéissance. Nous l’avions
noté lors de notre première rencontre où notre tolérance avait très vite été
mise à mal. Donc nous décidons d’agir immédiatement cette fois.
Les fesses d’un blanc uniforme montrent une carence en
vitamine D. L’absence de soleil sûrement, ce qu’on comprend aisément vu son
milieu naturel. Nous sommes donc obligés de lui faire faire cette cure durant
ce séjour. Et nous notons immédiatement sur le carnet de suivi de l’étude, l’importance
de corriger Mike exclusivement cul nu ou nu. Toute une attention indispensable
à la qualité de notre sujet.
Les claques sont appliquées sur l’intégralité des muscles
fessiers et de l’arrière des cuisses jusqu’à ce qu’une couleur rose vienne
embellir le tableau. Mike semble encore un peu paralysé. Les jambes exécutent
un léger mouvement mais pas suffisamment pour satisfaire notre étude. En effet,
pour rendre un Chenapantus Morpionibus docile, il faut s’en donner les moyens.
Une bonne dose de sévérité dans une technique très sensuelle.
Le choix du martinet à cette étape de l’étude a pour
objectif d’apprécier le double contact du cuir : dossier du fauteuil et lanière
de l’instrument. Nous utilisons un martinet commun que l’on trouve dans toutes
les quincailleries du pays. Nous pensons que cette matière stimule de manière
affirmative la docilité. La mobilité des membres inférieurs est ici très sollicitée.
Nous espérons ainsi vérifier la bonne santé musculaire de notre sujet.
Notre hypothèse fut immédiatement validée lorsque dans en
rythme avec les coups de martinet Mike nous offrit la danse de l’ours. Oui,
nous n’avons pas fait dans l’original là pour nommer cette danse bizarre nous
en convenons. Mais il fallait lui donner un nom qui nous mette en avant et nous
n’avons trouvé que ça.
Je reprends donc, la danse de l’ours permet de voir le
Chenapantus Morpionibus se tortiller de douleur et exprimer quelques signes de
docilité. Mais nous sommes loin du compte. Maître Ours décide alors te lui
appliqué les verges. Maître Ours les a confectionnées spécialement pour l’étude.
Les brindilles qui la composent sont très cinglantes et suffisamment espacées
pour atteindre le maximum de surface. La danse de l’ours devient plus
importante, me laissant apprécier la tension d’un organe jusque-là peu actif.
La canne de bambou a un effet paradoxalement viril et grave.
Son impact sourd et lourd est dissuadant et conduit inévitablement à la
docilité. Elle vient achever la danse. Mike dans un dernier souffle de rebelle
se doit de reconnaître la domination et accepte de nous accorder plus de
docilité. Devant cet aveu et le courage de Mike, nous lui accordons un massage
doux et sensuel afin de ne pas endommager son sommeil réparateur de douleurs fessières
certes stimulantes pour nous, mais fort désagréable pour lui.
Durant la punition, le spécimen d’Arvernis a beaucoup rit. C’est
moqué même de la situation de Mike de l’Insula Francia, tout en ayant parfois
quelques inquiétudes sur son devenir. Nous pensons, peut-être à tort que cela
lui servira de mise en garde. Mais là est une autre histoire. Il est temps de
noter tout cela sur notre cahier de suivi de l’espèce Chenapantus Morpionibus
et d’aller nous couché. Demain est un autre jour et une autre expérience nous y
attend.
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