sur notre blog Fessées Pyrénéennes. Maître Ours et ses soumises vous racontent leurs jeux entre adultes consentants. Fessées, bondages, exhibitions, à chaque soumise son jeu, ses plaisirs. Découvrez aussi l'apprentissage du rôle de domina de Mirabelle (soumise de Maître Ours) et les récits de ses soumis. N'hésitez pas à commenter et à participer aux provocations de ces chipies. Bonne visite.
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16 avril 2012

Récits

Fessée sévère pour avoir menti

Chasser les habitudes elles reviennent aux galops. Nul n'est à l'abri d'un tel écart temporaire. J'avais donc demandé à Maître Ours, de bien veiller à ce que cela ne m'arrive pas. Et si par malheur je cédais à cette facilité de comportement, de me corriger fermement. Parmi les comportements que je considère comme inapproprié pour mes objectifs de bien être et d'esprit sain, il y a le mensonge. Je pourrai trouver des tonnes d'excuses à un comportement "facile". D'abord pour sa nature, pas d'effort à faire, et pas d'inquiétude à avoir pour les autres. Après tout, c'est leur problème. Bien sûr, je pourrai aussi me satisfaire de cette facilité et comme tout le monde abuser des autres dans des multitudes de mensonges que je finirai par ne plus savoir si ce que je pense ou dis est vrai. Seulement voilà, l'idée même de céder à cela me rend malade. Alors je chasse le moindre comportement déviant en ce sens. 

J moins quatre. Comme à l'accoutumer, nous prenons le temps de discuter avec Maître Ours. Le chambrage est au rendez-vous et le plaisir de nous retrouver bientôt anime nos échanges. Les prévisions de jeux, les demandes d'accord pour telle ou telle pratique sont indispensables pour parfaire l'organisation. Nous nous approchons de l'heure du coucher que nous nous fixons pour éviter de trop déborder le soir. Vous le comprenez bien, un homme c'est très bavard. Et Maître Ours n'échappe pas à la règle. Ce temps limite, nous évite donc des débordements peu sérieux. Alors que l'heure approche, sur notre forum, Papafesseur s'acharne à mettre en place des vidéos issues d'un support peu populaire. Aussi, j'ai du créer un code spécial pour qu'il puisse nous en faire profiter. Le code fonctionnait bien sauf que l'écran d'affichage était trop grand. Je pensais alors finir le réglage avant l'heure du coucher. Une bagatelle pensais-je avec erreur.

Vingt-trois heures s'affiche sur l'ordinateur. Maître Ours me rappelle qu'il est temps d'aller au lit. J'acquiesce tout en sachant pertinemment que j'avais ce code qui n'allait pas comme je voulais. Et que je tenais à le faire rapidement pour que les vidéos puissent être lues dans de bonnes conditions. Je souhaite la bonne nuit à Maître Ours et lui promets d'aller me coucher rapidement. J'ai toujours un lapse de temps pour fermer l'ordi tout de même. Seulement, le problème était bien plus compliqué que prévu. Code après code. Modifications après modification, je finis à une heure quarante cinq du matin à mettre en forme le code avec une belle image.  Je pars donc me coucher, sans avoir réalisé à ce moment là que je venais de faire une bêtise.

Le lendemain matin, en toute bonne foi, j'envoie mon mail à Maître Ours et lui explique ma mésaventure. Son mail de réponse rapide, jeta un frisson dans mon dos. Certes, il était heureux que je réussisse mon projet, mais il me pose la question suivant : m'aurais-tu menti hier soir ?

Mais de quoi parle-t-il ? pourquoi aurais-je menti et en quoi ? je tourne et retourne l'histoire. Reprends les éléments les oppose et les compose pour constater avec grande peine qu'effectivement je lui avais menti. Oh c'est sur qu'il n'y a pas eu mort d'homme. C'est sûr aussi qu'il aurait pu laisser courir comme le fond bien nombre de personne peu soucieuse du mal qu'ils peuvent faire à autrui par ce comportement. Mais pour moi, c'était une faute très très grave. Et bien que j'avais une excellente raison pour avoir agi ainsi. Et que mon acte a permis à un membre de poster avec beaucoup de plaisir ses vidéos. J'avais bel et bien menti. J'avais promis à Maître Ours de me coucher immédiatement après notre discussion et je ne l'avais pas fait. Bien qu'il ait pleinement confiance en moi, il y a là une forme de trahison de sa confiance. 

Dans un mail retour, je reconnus ma faute et lui présenta mes excuses. Pas la peine d'aller chercher des excuses bidons qui n'auront pour but que de me faire perdre la confiance qu'il a en moi. Je préfère et de très loin assumer et reconnaître ma faute. Satisfait par mon comportement, il accepta immédiatement mes excuses. Puis il me dit : "Tu seras pardonné quand tu auras payé ta faute. Tu auras une fessée sévère comme je ne t'ai jamais donné pour l'instant. Là, tu n'y prendras aucun plaisir, tu peux me faire confiance. Les larmes couleront sur tes joues et ce n'est que lorsque j'estimerai que la leçon est retenue que j'arrêterai. J'avale ma salive à la lecture de ces mots. Un froid glacial me saisit et mon ventre se tortille d'une désagréable douleur. Je sais qu'il ne plaisante pas. Et que je vais devoir connaître ce que j'ai évité depuis le début de notre rencontre.

Trois jours plus tard, l'arrivée chez Maître Ours me rend toujours heureuse. Même si là, je suis plutôt anxieuse de ce qu'il va m'arriver. Je rêve vraiment que tout soit fini au plus vite et avoir son pardon pour pouvoir enfin jouer l'esprit détendu et à sa disposition. Sa joie est tout aussi grande de me voir et la "corvée" de me punir semble vraiment lourde à réaliser. Pourtant, et il le sait, cela fait parti du contrat et c'est aussi pour effacer un petit différent dû à une faute de ma part. 

- tu veux qu'on en termine de suite avec la punition ou tu préfères attendre après manger ? me demanda-t-il tout aussi pressé que moi d'en finir.
- on le fait de suite. Je suis tellement mal d'avoir fait cette faute. Je me culpabilise et m'en veux. C'est terrible et j'hâte d'être pardonnée. 
- le pardon tu l'auras seulement si tu assumes jusqu'au bout ta punition. Je vais être très sévère. Je veux voir les larmes dans tes yeux et le repentir. Sans quoi, je poursuis jusqu'à ce que je l'obtienne.

Je me sens complètement abattu et impuissante devant lui. Je suis en tort et c'est tellement insupportable pour moi. Je me dirige sans broncher derrière le fauteuil qu'il me montre du doigt. Puis il commence à me claquer les fesses et les cuisses sans laisser le moindre espace de blanc. Les claques ne sont pas très fortes en ce début punition, mais ça ne dure pas. Il accélère le rythme et tape de plus en plus fort. Les ondes de choc irradient mes fesses et mes cuisses telles des coulées de lave. Je dois tenir et assumer car j'ai fauté. Pourtant, j'ai envie d'échappé à chacune d'elles. La douleur est dure, cinglante et chaude. Mes fesses semblent exploser sous ses claques qui ne cèdent pas. Petite pause. Il lève la main laissant de ce fait l'air frais de l'appartement rafraîchir la surface. Je regarde le réveil sur le meuble de télévision. Cela fait seulement dix minutes. Elle me parait déjà une éternité. 

Un courant d'air derrière moi. Maître Ours revient avec des instruments. Le martinet, la cravache, les verges, la cane et le fouet sont tous présents. Je ne sais lequel il va choisir. Mais je sais que là, il ne va pas les utiliser avec douceur. Il les pose délicatement contre le mur. Puis saisit le martinet. A nouveau les coups s'abattent en haut des fesses, sur les fesses et les cuisses. Sans interruption et de manière dissuasive. La chair semble se déchirer. Pourtant il n'en est rien. Je me sens tellement coupable que j'amplifie chaque coup, chaque claque. Il poursuit la punition en observant mes réactions. Il sait que quoiqu'il arrive, je ne dirai pas le mot de secours qu'il m'a donné. Je m'en veux et là je tiendrai jusqu'à ce qu'il estime que c'est payé. Alors il observe, contrôle les coups qui pleuvent malgré tout. Veille à ce que je ne sois pas pour autant abîmée. Punie c'est largement suffisant. Les verges entrent en scène. Des brindilles éclattent dans le salon, tandis que les larmes s'invitent à ma punition. Je bénis l'intant où il cessera enfin. Mais je ne demande toujours rien. Devant le scintillement de la larme qui coule le long de ma joue, Maître Ours saisit la cane et me dit : Ces cinq coups de cane concluront la punition. Pour moi, tu auras payé ta faute et tu seras intégralement pardonné. 

Les cinq derniers coups, les plus durs, les plus insupportables. La douleur envahit mon corps comme si par ses impacts je me lavais de l'intérieur. Sensation bizarre et pourtant si libératrice. Maître Ours annonce la fin de la punition. Enfin pardonnée et libérée de ma faute, je me retourne et le remercie. Contrairement à ses habitudes, Maître Ours n'a pris aucun plaisir à me punir ainsi. Il en a lui aussi les larmes aux yeux. Punir pour le plaisir est bien plus facile. Mais là c'était différent. Une vraie punition pour me dissuader et c'est efficace. 

Malgré ses décisions d'avant punition, Maître Ours décide de me badigeonner d'arnica. Les risques sont important au vue de la punition reçue et on a une belle semaine devant nous. Alors ne gâchons pas la suite du stage.


1 commentaires:

edel a dit…

après une telle punition, une telle fessée et fouettée , on ne ment plus à son éducateur .Mais je pense aussi qu'il a fallu beaucoup de courage à Maître Ours et à Mirabelle pour l'un de la donner et l'autre de la recevoir .
Bravo à tous les deux et merci pour ce récit.

Ben moi j'en mériterai bien une bonne comme celle ci

:)) ;)) ;;) :D ;) :p :(( :) :( :X =(( :-o :-/ :-* :| 8-} :)] ~x( :-t b-( :-L x( =))

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