sur notre blog Fessées Pyrénéennes. Maître Ours et ses soumises vous racontent leurs jeux entre adultes consentants. Fessées, bondages, exhibitions, à chaque soumise son jeu, ses plaisirs. Découvrez aussi l'apprentissage du rôle de domina de Mirabelle (soumise de Maître Ours) et les récits de ses soumis. N'hésitez pas à commenter et à participer aux provocations de ces chipies. Bonne visite.
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5 octobre 2010

Récits

En route vers la caverne d’Ours.

Première convocation : partie 1

Depuis plusieurs jours je provoque et cherche maître Ours sur différents forums. Las de mes provocations, il m'a convoquée pour un stage de fessée d'une semaine. En voici, le récit que j'ai volontairement décomposé en plusieurs parties.
Nous sommes dimanche. Il est13h16. Je monte dans le train direction Midi-Pyrénées. Un dernier au revoir à mon tendre époux, quelques bisous échangés, c’est l’heure. Le contrôleur bloque les portes. Je ne peux plus reculer. Moi qui me suis tant amusée à le provoquer, il va falloir à présent assumer.

Un charmant jeune homme me propose de mettre ma valise au-dessus de ma tête. Je l’en remercie. C’est très agréable de voir qu’il existe encore des hommes courtois et respectueux. Je prends place et à côté de moi une jeune étudiante en langue étrangère commence à ouvrir ses cours. Je regarde par curiosité. Je devrais opter pour la même sagesse en prenant mes cours, mais j’ai l’esprit ailleurs.

Le train quitte Bordeaux. Pour une fois, je ne regrette pas de quitter mon mari. J’appréhende un peu ce stage, mais je suis confiante. Je ne me suis jamais trompée dans mes impressions. J’ai fait toutes les vérifications possibles à son sujet. Encore quelques validations certes, mais elles ne peuvent avoir lieu que de visu.

Ma belle forêt landaise se dévoile sous mes yeux. Elle a beaucoup souffert, c’est triste de voir ces pins couchés. J’aimerai ouvrir la vitre pour y sentir les odeurs. Mais le TGV ne le permet pas. Seule la climatisation, cet air recyclé, est autorisée. Je n’ai pas le choix, mais il me tarde déjà d’être arrivée pour respirer le bon air pur.

Je fouille dans mon sac à main. Je prends un morceau de papier plié discrètement en quatre. Je l’ouvre et regarde à nouveau ce portrait. C’est lui, Ours. J’adore sa tête. Elle me semble si familière. Nos discussions et nos échanges me reviennent à l’esprit. Il a beaucoup d’humour (français, l’humour, bien de chez nous). Parfois, je me suis demandé si c’était du « lard ou du cochon », vraies punitions ou simples menaces. En regardant son visage, la crainte surgit. Pourvu qu’il ne fasse pas les gros yeux!!!! Je ne pourrai pas lui tenir tête. C’est sûr qu’il aura le dernier mot. Il a ce charisme que je recherche dans un maître. Mais stop, ne fantasmons pas, cela risquerait de me décevoir.

J’ouvre mon ordinateur portable et commence une partie d’échecs. Je la gagne en 20 coups. Qu’il est nul ce logiciel (normale, j’ai mis un niveau 3 questions d’entraînement). Un regard vers la fenêtre, j’admire. C’est beau la nature.

Plus qu’une heure devant moi. Je n’ai toujours pas ouvert mes bouquins. Je n’en ai pas envie. Je veux profiter de chaque instant que nous allons passer ensemble. Je reprends la photo. La regarde à nouveau. Pourvu qu’en arrivant à la gare je le reconnaisse!!!! Je suis tellement fatiguée que je suis capable de le louper.

Ce n’est pas vrai, j’ai dit qu’il ne fallait pas fantasmer ni anticiper. Je dois vivre l’instant présent et uniquement celui-là. Sinon je vais gâcher mon séjour. Je le sais pourtant. Je relance une nouvelle partie d’échecs question d’occuper mon cerveau.

Plus que 10 minutes. Le contrôleur annonce l’arrivée en gare. Surtout pas de précipitation, je vais faire des bêtises. L’appréhension est bien au rendez-vous malgré tous mes efforts pour l’oublier. Je range mes affaires. Prends une grande respiration. Le train ralentit. Je regarde par la fenêtre au cas où je le verrai. Je lui ai donné mon numéro de voiture. Il devrait ne pas se tromper.

Personne !!! Je ne panique pas encore. Mais il ne faut pas que ça dure si je ne vois personne. Je récupère mes affaires et descends du train. Regard sur la droite du quai, personne. Sur la gauche, rien non plus. Mais où est-il ? Pourvu qu’il ne m’ait pas oubliée. J’avais pourtant bien confirmé mon arrivée. Nouveau coup d’œil à droit et à gauche. Rien. Dans la gare !!! Toujours rien. Bon c’est décidé, je vais l’appeler. J’entendrai sa voix pour la première fois et tout ça pour lui rappeler que j’attends sur le quai de la gare.

Je tapote sur mon clavier mes contacts. Je sélectionne son nom et avant d’appuyer sur « appel » un dernier coup d’œil. Et… passant entre les gens, je vois maître Ours arrivé. Pas de doute c’est bien lui. Nos regards se croisent et sans aucune hésitation nous confirmons nos identités.

Le contact est facile et très agréable.
  • As-tu fait bon voyage ? me dit-il,
  • Oui, j’ai vu de magnifiques paysages tout au long du parcours. Lui répondis-je.
  • On va aller à l’appart’ pour que tu puisses poser tes valises et prendre un café. J’ai mis la voiture juste à côté, enchaîna-t-il.
On arrive devant la voiture 4x4 rouge. Je sais qu’il adore les voitures et surtout qu’il n’aime pas qu’on les critique. Occasion m’est donc donnée de montrer qu’il avait récupéré une chipie qui n’a même pas peur (en apparence seulement). On va attendre un peu quand même au cas où il me laisserait sur place. Mais ta voiture, cher Ours, je vais lui donner LE qualificatif qui va susciter bien des réactions chez toi.
Je lui laisse mettre ma valise dans son coffre. Et là, première critique de sa part 
  •  Elle est lourde !!!


Tiens celle-là comme c’est bizarre, mais je m’y attendais.
  • Ben juste le strict nécessaire pour survivre dans une caverne !!!! et tac, un retour comme je les aime.
  • T’n’auras besoin de rien, je vais te réchauffer avec des fessées !!! et un rictus de satisfaction signa sa répartie
  • Grrr !!! Il m’a eue !!!


Il démarre la voiture, baisse sa vitre. J’en fais de même. Je veux respirer du vrai air, pas du recyclé. En plus il fait bon, alors pas la peine de se priver. Durant tout le trajet jusqu’à chez lui, il me parle de sa ville, des bâtiments, etc. Pfiou !!! on dit que les femmes sont bavardes, ben là, j’étais battue sur le poteau. On arrive en bas de l’appartement.
  • Descend là, je vais ranger la voiture dans le garage.


Je descends sur le trottoir, ne sachant pas vraiment où je devais aller. Mais je repère très vite les montagnes. Et pendant qu’il gare sa « caisse à savon » (il déteste quand je dis, ça), je m’émerveille devant la montagne.
  • C’est par là, me dit-il en me montrant du doigt l’entrée de l’immeuble.


Je récupère mes affaires qu’il sort soigneusement de la voiture, mais surtout n’imaginez pas qu’il aurait été plus loin avec. Toute une éducation à refaire, pensais-je très fort, mais pas à haute voix. On ne sait jamais, j’ai déjà un lourd passif à payer. N’aggravons pas inutilement la situation.

J’entre enfin dans la caverne de l’Ours. Un petit appartement douillet et très convivial. Il me montre ce qui sera ma chambre durant mon séjour. Je pose mes valises et poursuis la visite des lieux. Nous arrivons à la cuisine. Il me propose de prendre un café. Nous faisons plus ample connaissance, découvrant de nombreux points communs, dont un même sens des valeurs morales. Là, je suis totalement rassurée. 

Cela dit, mise en garde de routine, on ne sait jamais, je le préviens que mon mari possède toutes ses coordonnées (nom, adresse et téléphone) et que si je ne donne aucune nouvelle chaque jour, il descendra avec le fusil. Vous imaginez bien qu’il est préférable pour une dame de rencontrer son maître la première fois dans un lieu public et non directement chez lui et à 300 km de la maison. Le contexte est bien différent, donc mesures différentes.

Nous avons discuté de tout et ce jusqu’à 1h30 du matin. On a rattrapé sur les présentations.
  • Demain, me dit-il, nous réglerons les manquements sur le forum. Nous irons chercher le pain d’abord, et je t’emmènerai dans la montagne.


Je me couche fatiguer, mais heureuse d’être enfin dans la caverne d’Ours. Je ne tarde pas à m’endormir. 

1 commentaires:

Aline a dit…

Le décor est posé, j'attends la suite avec impatience!!!!

:)) ;)) ;;) :D ;) :p :(( :) :( :X =(( :-o :-/ :-* :| 8-} :)] ~x( :-t b-( :-L x( =))

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