Leçon pyrénéenne

Les jours se suivent et ... ne se ressemblent pas. J'ai beau vouloir mener plusieurs tentatives d'évitement; La punition est due et elle sera appliquée. Maître Ours prend les choses en mains. Et pour commencer avec la première leçon de science de la vie.




Une moto au loin sur la rocade fait rugir son moteur. Je me réveille en sursaut toujours pas habituée à ce vacarme urbain. Je regarde ma montre. 6h30. Je pousse un long soupir. J'ai du temps devant moi.

Je referme les yeux et repense à la journée d'hier.

Il a prévu de m'emmener visiter le Parc animalier des Pyrénées. Je suis ravie. Pouvoir approcher de près les isards, les marmottes ou encore les loups m'enchante. J'adore les animaux surtout lorsqu'ils sont libres. Maître Ours a prévu deux fessées aujourd'hui, qu'il nomme « fessée de maintenance ». Le but est de me rappeler qu'il est le Maître de mon réveil jusqu'à mon coucher.

Mes pensées s'animent divines et coquines. Je me vois déjà entre ces mains incapable de lutter contre ses décisions. J'en ai envie, j'en ai besoin. Je me sens bien, je me détends enfin. Et je finis par me rendormir.

8h15 je m'étire doucement dans mon lit. Je pense m'être assoupie légèrement. Je regarde ma montre. Oh vite ! Je dois me lever. Je tends l'oreille et tente d'entendre un bruit dans l'appartement. Puis un raclement de gorges !!! Il est levé !!!

Je sors de mon lit et décide de me rendre dans la cuisine en tee-shirt de nuit.

• Bonjour, bien dormi !! me dit-il avec un sourire.

Il est assis derrière son ordinateur et réponds à des messages reçus.

• Tu te sers du café, j'en ai fait du tout frais et tu fais comme chez toi.

Je prends mon petit déjeuner et puis je m'approche de lui. Il me tapote la cuisse.

• Bon je termine ce mail, et tu vas recevoir ta fessée du matin. Son regard pétille.

Je reste debout à côté de lui, appréciant ses caresses sur mes cuisses.

• Allez ! on y va !!! me dit-il en me claquant doucement la cuisse. Va dans ta chambre, j'arrive.

Je passe devant et me dirige sagement vers ma chambre.

• Allonge-toi sur le lit, fesses face à moi. Les mains loin devant toi. Et tu ne bouges plus, c'est bien compris.
• oui Monsieur,
• Tu vas donc recevoir une fessée de maintien. La première pour toi. Elle comprend des claques, des coups de cravache et de martinet. Durant toute la punition, tu gardes bien les bras au dessus de ta tête. Si tu désobéis, je recommence la punition à zéro.
• Oui, monsieur.
• Penses-tu pouvoir tenir ?
• Je ne sais pas monsieur, mais je vais faire de mon mieux.
• Très bien, si je vois une de tes mains tenter de protéger tes fesses, je les attache. C'est bien clair.

J'avale ma salive et réponds par l'affirmative, acceptant de fait, la punition.

• Tu as bien choisi ton tee-shirt de nuit. Je vais donc tenter de colorer des fesses d'un même beau rouge !!! dit-il en souriant.

Je n'y crois pas vraiment, même s'il a pu me prouver hier qu'il savait très bien recadrer les chipies comme moi.

La fessée commence. Les claques s'abattent sur mes fesses à un rythme régulier. Un coup la fesse droite, un coup la gauche, le centre, la cuisse gauche, la cuisse droite... « Ah ! C’est blanc ici » dit-il satisfait du contraste que commençait à faire ma peau en comparaison de ma culotte blanche.

• Elle devient superflue !!! je l'enlève !!! tu ne vois pas d'inconvénient !!!
• Ai-je le droit de dire « non », Monsieur ?
• Non, c'est moi qui décide, donc tu obéis.
• Et si je vous en empêche ?
• Essayes et tu verras bien !!! mais n'oublies pas ce que je t'ai promis si tes mains avaient le malheur de quitter leur position !!

Je réfléchis un peu, mais l'envie de provocation est bien trop grande. J'ai envie de savoir s'il en est vraiment capable ou pas. Tant pis j'essaie. Et je descends une main pour retenir ma culotte.

• Qu'est-ce que je t'ai dit ? me dit-il en fronçant les sourcils. Tu ne m'en crois pas capable ? C’est ça ? Et bien, c'est ce que nous allons voir.

Il quitte la chambre pour récupérer un objet dans sa chambre. Puis il revient avec une chaîne munie de boucle préliée. Il me prend le premier poignet et y fait coulisser la chaîne. Puis il s'apprête à faire la deuxième boucle pour y maintenir ainsi réunies mes deux mains. Étant très attentive à son travail et me rendant bien compte de la difficulté de la tâche, je me suis bien sûr empressée de l'aider. Et je me mis à tirer doucement la chaîne avec ma main déjà prisonnière. Il devait donc gérer la construction de la boucle et le mouvement de mon poignet, ce qui réduisait sa marge de manoeuvre.

• Tu vas arrêter oui !!!

Je lui répondis avec un doux regard espiègle : « mais je ne fais rien, Monsieur, faut que je bouge mon bras pour la circulation du sang. Et là, sans crier garde, il abattit fortement sa main sur mes fesses. Cette claque-surprise eut raison de mon espièglerie. Il finit sa boucle et bloqua de ce fait mon deuxième poignet bien au dessus de ma tête. Impossible pour moi de me protéger. Il baisse ma culotte.

• Nous en étions où déjà !!! ah oui !! belle couleur !!! mais on est encore loin de la couleur de ton tee-shirt.

Il reprit alors les claques. Le rythme est régulier, mais il claque plus fort (à moins que ce ne soit à cause de l'absence de protection). Peu importe, je sens bien les claques. Il s'arrête et contemple à nouveau. Il les caresse délicatement. “Elles sont bien chaudes là !!!”

Puis il prend la cravache, et tapote sur toute la surface. Ce picotement qui envahit mes fesses et ces morsures parfois impose le respect. Puis c'est au tour de mon ami Martinet. J'adore le claquement de ces lanières. Elles provoquent en moi une douleur et un plaisir fusionnel. L'obligation de soumission et de l'envie de m'offrir encore plus. Il me fait écarter les jambes, et m'administre quelques coups sur le sexe. Je lui suis entièrement dévouée.

Il s'arrête. Admire son travail !!!

• Elles sont belles là !!! je vais prendre la photo et tu le publieras sur le blog !!!
• Oh non, pas ça !!! quelle honte tu m'imposes là !! je ne l'ai jamais fait !! je t'en prie !!!
• Non, tu m'as dit vouloir progresser. Tu m'as demandé de t'aider à aller plus loin dans le jeu de la soumission. Donc, tu vas publier la photo avec ton récit bien entendu.

Première convocation, troisième journée.