sur notre blog Fessées Pyrénéennes. Maître Ours et ses soumises vous racontent leurs jeux entre adultes consentants. Fessées, bondages, exhibitions, à chaque soumise son jeu, ses plaisirs. Découvrez aussi l'apprentissage du rôle de domina de Mirabelle (soumise de Maître Ours) et les récits de ses soumis. N'hésitez pas à commenter et à participer aux provocations de ces chipies. Bonne visite.
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29 décembre 2011

Récits

Dernière convocation de l'année 2011

En cette fin d’année, j’ai eu la chance de pouvoir à nouveau séjourner à la Caverne de l’Ours. C’était un moment encore magnifique, alternance entre les jeux de soumission et le plaisir de la photo. Namer m’a fait l’honneur de sa présence durant le week-end et donc des fous rires garanties. Cette dernière semaine de soumission de l’année 2011 m’a ravie à souhait. Je vais donc vous la raconter.


C’est vendredi. Je réveille mon mari. Il est hors de question d’être en retard. Je me prépare, déjeune et mets les affaires dans la voiture. Namer est tout heureux de pouvoir être avec nous durant trois jours. Le ciel n’est pas avec nous. La pluie s’abat sur Chipie. Je lève le pied. Inutile de prendre des risques, le plus important est d’arriver entier à la caverne.

Plus que 45 km. Les Pyrénées sont cachées derrière les nuages. Je nargue Namer en lui disant de les imaginer à défaut de les voir. Je me contrôle, Chipie est tout aussi motivée que moi de revoir Maître Ours. Il faut dire qu’il la bichonne à chaque fois qu’elle vient le voir. Elle ne lui résiste plus depuis. J’en suis à la limite jalouse, mais comme c’est MA voiture (eh oui Namer, elle est à moi) je lui pardonne sans rechigner.

À son habitude Maître Ours est allé nous chercher le petit déjeuner et à prépare le café. Notre arrivée le rend tout aussi heureux que nous. C’est parti, la semaine de vacances et de rêves va commencer. Rangement des affaires, déballage des petits cadeaux et partage du café, la bonne humeur semble n’avoir jamais quitté la caverne. Le fruit d’une grande complicité et amitié qui existe entre nous. Il est temps de partir faire les courses. Chipie est à l’honneur et confiée aux mains expertes de Maître Ours.

Namer, voyant son temps limité, décide de lancer les festivités. Avec mon mari, nous ne pratiquons pas la soumission. J’en avais discuté avec Maître Ours qui partage mon avis à ce niveau. Par contre, rien ne nous empêche de faire des jeux libertins ensemble. Et c’est ce que nous allons faire avec Maître Ours. Deux hommes me sont ainsi offerts à mes désirs et plaisirs. Ils sont très protecteurs et attentionnés. Leurs gestes sont mesurés et précis. Et je profite avec bonheur de leurs deux corps qui me sont entièrement offerts. J’ai confiance en eux deux et c’est ainsi pour moi l’occasion de vivre un moment de plaisir fort et intense.
La soirée sera bien conviviale même si la fatigue a su nous ramener à la raison.

Le lendemain, Maître Ours a choisi d’amener Namer découvrir la beauté des cascades. Une occasion pour moi de sortir mon appareil photo et de faire des clichés de cette merveilleuse nature. Nous mettons nos chaussures de randonnées et nos gros blousons bien chauds. Maître ours en guide expérimenté nous amène à la découverte de ces merveilles, sac à dos équipé des indispensables à montagne. L’émerveillement sera au rendez-vous, mais cela a un prix. Eh oui, il y a du plat, on ne peut pas le nier, mais cela dure 2 m tout au plus. Tout le reste, ça grimpe et pas qu’un peu, je vous le dis. Il a donc fallu ce les gagner ses photos.

Nous n’avons pas trouvé d’Ours en liberté à part celui qu’on avait emmené avec nous. Des fous en liberté, par contre, on en a vu un. Inconscient et dangereux pour ceux qui l’accompagnent, et tout ça pour la frime. Il a réussi à mettre en colère Maître Ours qui connait très bien les dangers de la montagne.

Le dimanche, nous profitons de la présence de Namer avant de devoir le renvoyer à la maison. Je suis triste. Mais il doit travailler le lendemain. Je monte avec lui dans le train et je l’aide à s’installer. Une excuse plus qu’un besoin. Question d’être encore un peu avec lui. Le train est prêt à partir. Nous retournons à la Caverne. Ma soumission peut alors commencer.

Maître Ours me pare de mon collier de soumission. Je suis à lui et à ses ordres pour la suite des vacances. Lui serai-je toujours obéissante ? vous savez le bruit qui court est comme Forest Gump. Il se doit de temps en temps de se reposer pour mieux repartir après. Moi je choisis les moments de repos lorsqu’ils sont associés à des plaisirs intenses. Je serai devenue bien stupide que de vouloir résister à ses plaisirs suprêmes.

Lundi matin. Je prépare les tartines à Maître Ours. Et oui, à force de lui piquer, je dois maintenant les lui faire. Non, je ne me suis pas fait avoir ! C’est très agréable de donner aussi. Il le mérite largement. Départ pour la ville, achat du pain obligatoire avant de poursuivre les jouissances.
De retour à la caverne, il m’allonge sur la table de la cuisine entièrement nue. Les jambes attachées de chaque côté et les bras bien tirés derrière ma tête, me voici prisonnière de ses délires les plus fous. Consciente qu’il n’ira pas au-delà des règles établies, je me laisse emporter par l’ivresse de la situation. Il m’attache un foulard large autour des yeux. C’est l’occasion pour moi de partir dans mes fantasmes les plus fous. Que va-t-il me faire ? Il bouge ? Du bruit… Il fouille dans son sac. J’entends les chocs des pinces entre elles. Sa main me touche le sein droit. L’effleurement sur la peau me procure de doux frissons. Puis une morsure me signale la présence d’une pince. C’est le tour de l’autre sein. Le pincement est douloureux, mais largement supportable. Je suis un sapin qu’il décore à son goût. D’autres viendront orner mes grandes lèvres et mon clito. Il est fier de son résultat. Un sifflement. Cela ressemble à une corde. Je sens son frottement sur mes cuisses. Il écarte les pinces favorisant ainsi une meilleure vue de mon intimité. Je me sens prisonnière en apparence et pourtant si libre dans mon corps et dans ma tête. Rien ne peut m’arriver si ce n’est d’atteindre le plaisir.

Il me sort les pinces délicatement. Je ne vois toujours rien. Il est satisfait. Ses mains caressent mon corps. J’entends à nouveau ses pas qui s’éloignent. Je cherche à entendre les bruits. Mais rien. Il est à nouveau là. Je ressens sa présence. Son souffle est plus fort. Il prend beaucoup de plaisir à jouer avec moi. Soudain il applique une boule froide sur mon clito qu’il ne tarde pas à faire vibrer. Je suis emportée par le plaisir. Les vibrations montent dans mon corps provoquant des spasmes. Doucement il me chuchote de lâcher, de me laisser aller. Eh oui, le bruit qui court à cet instant précis a pris du repos. Et j’obéis pour lui offrir la plus belle des jouissances.
L’après-midi sera l’occasion d’une nouvelle promenade et séance photo. On regarde nos clichés. On se critique, on les commente. Apprendre ensemble et s’amuser, c’est ce que nous avons choisi. Le soir nous partageons un moment tranquille à regarder la télé et à discuter.

Mardi, la journée n’est pas au beau fixe. Les projets sont tombés à l’eau… de pluie. Peu importe, c’est avec la fessée que nous allons nous amuser. Il m’avait promis de sérieuses corrections pour mes manquements nombreux. Quand il dit, il le fait !! me voilà donc à devoir assumer une fessée punitive qu’il m’a dit avoir bien méritée. Je n’ai pas mérité un fox-trot c’est sûr, pourtant c’est sur ce tempo qu’il a décidé de me remettre sur le droit chemin. Forcément je suis bien obligée d’assumer et donc l’instant de la punition de mettre au repos le bruit qui court. Et puis, soyons honnêtes, j’y prends aussi du plaisir. La main s’abat avec précision sur mes jolies fesses qui ne traînent pas à se teinter d’un beau rouge vermillon. Le martinet et les verges viendront à leur tour décorer de leurs marques le chef d’œuvre éphémère en cours de réalisation. Et tel Picasso dans ses grands moments de… solitude, il m’invite à contempler son œuvre dans le miroir. Je ne vais pas lui dire que je ne comprends pas le message qu’il a essayé d’écrire sur mes fesses. Il serait bien capable de recommencer. Et là, j’en ai eu assez pour cette séance.
Un peu d’arnica pour éviter les éventuelles traces. C’est une précaution que nous prenons pour pouvoir à chaque fois prendre le même plaisir sans risque, même si la fessée n’entraîne pas forcément des bleus. La prévention toujours. Et puis, il faut dire que c’est aussi un moment agréable lorsqu’il me masse les fesses avec beaucoup de douceur et de délicatesse.
Une brève éclaircie. Et nous voilà chaussures de rando aux pieds à arpenter les rives de l’Adour. Les images sont magnifiques. Maître Ours a même réussi à prendre un arc-en-ciel qui n’a pas du tout apprécié d’avoir ainsi été pris en photo. Et alors qu’il réglait son appareil pour une deuxième prise, ce dernier lui a simplement fait faux-bond. Il était fier de me montrer sa prise. Grrr !! Mais j’aurai ma revanche. Et c’est un martin-pêcheur qui sauvera ma chasse du jour. Eh oui !! il faut dégainer vite parfois.

Mercredi, Vitalair est prévu cet après-midi pour un jeu de soumission à trois. Il voulait voir Maître Ours me punir sévèrement. Et me voilà nue soumise à une sévère fessée. Je danse à nouveau sous le sourire de Vitalair. Mais rira bien qui rira le dernier. Son tour venu, il fait moins le malin, lorsque le Maître lui attache le sexe et le fouette, pendant que je lui pince les seins à la demande de Maître Ours. Un bon moment de plaisir à trois.

Jeudi nous allons dans le bois du commandeur chercher du houx et fabriquer un bâton de marche pour Namer. C’est indispensable en montagne. Et Maître Ours met un point d’honneur à lui faire lui-même. Les houx sont immenses et leur tronc suffisamment solide pour servir de bâton. Pendant qu’il s’acharne à préparer son bâton, j’erre autour à la recherche de photos éventuelles. Les champignons vont être à la fête. Non pas pour mettre dans l’assiette, ils ne sont pas comestibles ceux-là. Mais ça n’empêche qu’ils sont beaux.
L’après-midi, me voici à nouveau allongé sur la table. Nous avons acheté des bougies spécialement pour le jeu. Et Maître Ours a une folle envie de les essayer. Allongée, attachée et aveuglée, je suis à nouveau plongée au cœur de mon imagination. Il me badigeonne d’huile d’amande pour me protéger des brûlures. J’entends un frottement dont le bruit me rappelle celui d’un briquet. Je l’imagine en train d’allumer la bougie. Dans mon esprit, il la regarde se consumer un peu afin de faire fondre la cire. Puis satisfait de la quantité, il s’approche de moi. Et se plaçant à une certaine hauteur que je ne peux percevoir, il verse quelques gouttes sur mes seins. Cela pique et brûle légèrement. C’est supportable d’autant qu’il me laisse de l’espace entre chaque goutte. La cire est difficile à supporter lorsqu’elle est versée trop rapidement et trop près du corps. Là, il a pris une distance acceptable pour moi et suffisamment douloureuse pour mon plaisir d’appartenance.

La semaine se termine sur une belle note de plaisir et de soumission. Je l’ai souvent taquiné en ville et lors de nos promenades, ce qui me valait parfois des claques discrètes, mais insuffisantes pour m’imposer l’obéissance. Seuls les dangers de la montagne m’obliger à l’être pour une simple question de sécurité.
Vivement la prochaine convocation ! au moins cela compense les grandes déceptions de l’année 2011.

2 commentaires:

maître ours a dit…

merci de tenir parole fille un récit sympa qui retrace en gros les moments importants de ta venue Oui nos rigolons bien et oui le bruit qui court stoppe par moment pour te permettre de prendre un bol de plaisir mérité et là tu es un tant sois peux obéissante le temps que !!!!!!!!!!! comme tu dis les feses reprennet une couleur normale /rosée ..............

mirabelle33 a dit…

Mon petit Forest Gump n'est pas prêt de me lâcher. Mais... parce qu'il y a un mais, mon plaisir balance entre mes petites provocations pleines de délicieuses attentions et celui de vivre intensément cette punition que j'ai tant cherché.

:)) ;)) ;;) :D ;) :p :(( :) :( :X =(( :-o :-/ :-* :| 8-} :)] ~x( :-t b-( :-L x( =))

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