sur notre blog Fessées Pyrénéennes. Maître Ours et ses soumises vous racontent leurs jeux entre adultes consentants. Fessées, bondages, exhibitions, à chaque soumise son jeu, ses plaisirs. Découvrez aussi l'apprentissage du rôle de domina de Mirabelle (soumise de Maître Ours) et les récits de ses soumis. N'hésitez pas à commenter et à participer aux provocations de ces chipies. Bonne visite.
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29 décembre 2010

Récits

Les verges

Ce matin, j’ai une folle envie de m’amuser. Maître Ours a prévu de me faire goûter aux verges. Je ne connais absolument pas. Cet instrument était prisé jadis dans l’éducation des chenapans. Il semble redoutable. Pourtant que peuvent bien me faire ces quelques brindilles nouées entre elles !!
Ce matin, j’ai une folle envie de m’amuser. Maître Ours a prévu de me faire goûter aux verges. Je ne connais absolument pas. Cet instrument était prisé jadis dans l’éducation des chenapans. Il semble redoutable. Pourtant que peuvent bien me faire ces quelques brindilles sur moi ? Je ne peux m’imaginer la douleur que provoquera cet instrument. Je m’étire doucement dans mon lit. Après tout, me dis-je, ce ne doit pas être si terrible que ça.

Mon inconscience aurait-elle décidé de me jouer de tour ? Ou est-ce l’envie de me détendre et profiter de cet instant présent ? Je tapote sur la lampe. Une fois, la lumière est faible. J’ouvre un œil tout doucement. Je tapote une deuxième fois. La lumière s’intensifie, puis une troisième fois. J’entends Maître Ours dans la cuisine. Le café est prêt. Je peux me lever.

J’enfile mes chaussons. Je passe devant la cuisine et m’arrête aux toilettes. L’occasion de vérifier s’il n’a pas encore mangé toutes ses tartines. Super !! il n’a pas encore commencé. Je vais donc pouvoir lui en piquer. Il m’a déjà dit qu’il n’aimait pas. Donc voilà une excellente occasion de le chercher de bon matin et de bonne humeur. Je le rejoins et me sers du bon café tout chaud qu’il a préparé avec tant d’amour.


Aigle royal - crédit photo : René Lotie 2006
 Le journaliste présente les informations du jour. Maître Ours est attentif. Et comme toujours, on entend de mauvaises nouvelles. Que ça me lasse ! À croire que pour vivre heureux il faut être dans la peine et la souffrance. Que nenni ! J’ai décidé aujourd’hui d’en profiter et d’embêter Maître Ours. Tant pis pour le journaliste, il perdra provisoirement deux auditeurs, dont un fidèle. Et je me mets à observer Maître Ours. Les échanges du journaliste l'interpellent. Voilà une excellente ouverture pour tendre le bras. L’aigle qui est en moi a vu la faille. Et c’est avec un esprit vif et un geste rapide que je saisis une tartine sous son nez. Il ne me voit pas. Je décide donc sous ses yeux de compléter la belle tartine beurrée par ses soins de confiture à la fraise. Mon geste ne peut rester longtemps ignorer de Maître Ours. Et d’un regard sévère, il me menace d’une fessée grave pour lui avoir volé une tartine. Je m’empresse de manger un morceau de manière à ne plus pouvoir lui rendre et donc, de bénéficier d’une excuse puissante.
  • Toi, tu commences mal ta journée !! me lança-t-il d'une voix calme et déterminée. Tu vas connaître plus vite que prévu les bienfaits d'une fessée écologique.
  • Tu es écolo toi ? répondis-je d'un ton amusé.
  • Rigole, oui. Nous irons d'abord chercher le pain et ensuite nous règlerons ça.

Je finis de déguster cette délicieuse tartine. Je n’ai vraiment pas l’habitude de manger le matin. Mais la tentation était beaucoup trop grande pour moi. Et mon envie de chercher Maître Ours aussi. Le petit déjeuner terminé, je file à la douche. Me fait une beauté, même si j’ai peu de travail à fournir pour cela. Et m’habille pour aller en ville. Maître Ours se prépare à son tour. Et nous voilà parties en ville acheter le pain et le journal.


De retour à l’appartement, après une conduite respectueuse de ma part hors de nos murs, je décide de poursuivre ma taquinerie du matin. Après tout, les menaces n’ont rien de dramatique tant qu’elles ne sont pas exécutées. Mais Maître Ours ne l’entend pas ainsi. Et d’un ton ironique, il me dit :

  • Bien, à présent nous allons passer au règlement de ton solde. Tu vas t'allonger sur le divan...
  • Tiens une séance de psychanalyse, pensais-je tout bas.
  • Sur le ventre et tu m'attends sans bouger. Et gare à toi si tu traînes encore.

Aïe, le temps de la rigolade arrive à son terme pour ce matin. Il va falloir assumer ces actes. Je garde toujours l’espoir que Maître Gary cédera à mon charme et réduira de ce fait la punition tant méritée. Il part dans sa chambre et revient muni de la cravache… Brrr j’ai froid dans le dos !!!! et du martinet… non pas de l’oiseau, cela aurait été plus agréable pour mes fesses.


L’instant qui suit revêt un certain fantasme de ma part : voir un homme à genou devant moi. Là il est à côté. Le fantasme est presque réalisé. Je jubile à l’intérieur de moi, oubliant momentanément que malgré cette situation j’étais à sa portée pour recevoir une magistrale fessée. Il faut reconnaître que ma note est salée. Il commence donc à pétrir mes fesses à la main. Mon pantalon me protège bien. Mais il s’en rend compte. Il m’ordonne alors de l’ôter. Pas sympa du tout, car là, mes cuisses sont entièrement nues. Et même si mes fesses restent encore provisoirement en sursis, elles vont bientôt ressentir la même chaleur que mes cuisses. Les claques tombent les unes après les autres, sans que je puisse anticiper ou me protéger. Il s’arrête un instant. Me regarde droit dans les yeux. Et là, je pense à mon vole de tartine et à toute l’espièglerie qui est en moi aujourd’hui. Et je me mets à rire.


  • Même pas mal, c'est ça !!! dit-il en souriant. Donc tu conviendras que l'usage de la cravache s'avère nécessaire dans ce cas.

Et voilà, une belle occasion de me taire encore tombée à l’eau. Il prend sa cravache et me corrige sur les fesses et les cuisses. Les coups répétés sont alternés. Parfois faible et symbolique. Parfois précis et dissuasif. Je ne sais jamais lequel va tomber. Je commence à mettre ma main pour me protéger.

  • Sors ta main de là !! où je t'attache et double la punition.

  • Je ne suis pas en position de négociation. Aussi, avec regret, je sors ma main protectrice. Puis il prend le martinet. La fouettée est plus dense. Il s’arrête et me regarde à nouveau.
  • Ceci est donc la première fessée. Penses-tu être en mesure de te tenir plus sagement auprès des fesseurs sur le forum ?

Je le regarde dans les yeux. Il y a un petit air narquois qui ne me laisse pas indifférente. Et bien sûr, mon esprit rebelle toujours indompté ce matin prend le dessus. Et je lui réponds avec un sourire ravageur :
  • Euh !! Ça va être très difficile de m'en passer. 
  • Ah bon !! cela ne te suffit pas. Très bien. J'avais prévu les verges pour plus tard, mais je sens qu'elles sont indispensables dès à présent. Tu vas donc apprendre à être sage et disciplinée.

Les verges. Il m’avait envoyé une photo du fagot qu’il avait spécialement confectionné pour moi. Cela paraît inoffensif et pourtant, je suis moins fière cette fois. Ces brindilles solidement attachées semblent redoutables. Les récits lus me reviennent immédiatement à l’esprit. Comme un flash. Cette attente est terrible. Je m’inquiète. Les verges ont pour réputation d’être sévères. Plus sévère encore que la cravache ou le martinet. Il revient son fagot à la main. Me le montre, ce qui a pour effet d’augmenter mon appréhension.


Les premiers coups tombent. Cela me picote partout. J’ai l’impression qu’en un seul coup il a touché l’intégralité de mes fesses. Et pourtant, il y a de la surface. La sensation est terrible. Mon dos, mes fesses et mes cuisses semblent chauffer à chaque impact de cet instrument. Maître Ours m’observe. Je supporte les coups. Il décide alors de me faire découvrir l’effet cinglant. Là, je me tortille. La douleur est diffuse et stimulante. Je ne suis plus en mesure de contrôler mon corps. Je m’abandonne et accepte sa victoire. Il arrête. Je le remercie, car je viens de découvrir une nouvelle sensation qui a su me libérer.

Je me rhabille. Puis nous mangeons tranquillement. L’après-midi je reste sage. L’effet de la fessée ? Oui peut-être. Les verges sont très dissuasives pour moi. Et je préfère me montrer un peu raisonnable. Même si je sais que je ne tiendrais pas longtemps. Notre soirée sur MSN avec Aline et Monsieur Baccardi se passe à merveille. Sauf lorsque mon parrain a demandé à maître Ours de me punir de sa part.


Une nouvelle occasion donc pour Maître Ours, de me corriger et profiter de la belle vue de mes fesses rougies pour accompagner ses doux rêves. J’enfile ma chemise de nuit rouge. Et j’attends son entrée dans la chambre. Là, je me mets à genou, le torse allongé sur le lit, il lève ma chemise de nuit, laissant apparaître le galbe de mes fesses. Elles ont repris leur couleur initiale sans aucune trace de la fessée du matin. Et m’administre une série de 20 coups de martinet. Je me dandine à chaque fois. Puis il me regarde tendrement. « Allez au lit ». Je m’allonge dans mon lit. Les fesses bien chaudes. « Bonne nuit », me dit-il. Il sort de la chambre. Éteins la lumière. Une nuit paisible m’attend.

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