Rapport de la semaine 5

Pour me punir de mes mauvaises habitudes, ma Maîtresse m’a condamné à deux semaines d’abstinence totale. Lors de ma dernière séance de confession, elle m’a prévenue que si durant cette période de pénitence je me laissais aller à une coupable masturbation, elle me punirait très sévèrement. Le tarif est lourd : un supplice d’une demie heure à genoux les bras en croix sous la menace du martinet. Je suis incapable de tenir aussi longtemps.

Pour m’aider dans cette période d’abstinence, Maîtresse Mirabelle m’a demandé de réfléchir sur une méthode de contrainte qui me permettrait de maîtriser mon excitation. Il y a bien sûr la ceinture de chasteté. J’ai retrouvé dans un antique livre médical des années trente des illustrations montrant des appareils à faire porter aux adolescents qui se masturbent.


Des ceintures de chasteté sont en vente dans des sex-shops. Mais il existe des méthodes plus basiques pour calmer les érections d’un soumis : un simple ligotage du sexe qui le contraint à une torsion entre les cuisses est suffisant. Maîtresse Mirabelle m’a obligé à ficeler mon sexe de sorte que le gland soit bien décalotté et que le pénis soit coincé entre mes cuisses est suffisant. C’est humiliant car le zizi est caché, laissant un pubis aussi lisse que celui d’une fille. Qu’elle leçon d’humilité avec la « queue entre les jambes »! La moindre érection devient un peu douloureuse et le pénis reprend vite une dimension plus conforme à celle d’un soumis.

En cas de récidive, Maîtresse Mirabelle va chercher dans le frigo mon « bocal » (un verre rempli d’eau froide et de glaçons) après un trempage de cinq minutes, le sexe perd toute arrogance et devient aussi ridicule qu’un zizi d’un garnement de dix ans. Maitresse Mirabelle a également évoqué le port d’une couche-culotte dont l’épaisseur rend impossible tout attouchement libérateur. J'espère qu’elle m’épargnera une telle honte.

Maîtresse Mirabelle entend bien garder le contact sur l’intimité de son soumis. Selon elle, une abstinence forcée me rendra encore plus obéissant. J’attends avec impatience le moment où elle suspendra la punition et me permettra enfin à me libérer de toute cette excitation. Ce sera dans une semaine exactement.

J’espère tenir. En attendant je me montre obéissant car je ne tiens pas à faire des jours supplémentaires moi !