Depuis quelques temps sur le forum et en privée, j’ai suffisamment titillé Monsieur Georges au point qu’il me menace de recevoir une fessée aux orties. Il y a bien longtemps, quelques années en amont, j’avais été punie de la sorte. Mes souvenirs me rappelaient une danse spécifique et une douleur qui avait duré une éternité … enfin deux heures. Mais quand c’est vous qui ressentez les brûlures et les picotements durant tout ce temps, et bien c’est juste … très long. Mais voilà, cette fessée là que je n’avais jamais plus reçu, me laissait un goût de « reviens-y ». Va savoir pourquoi ? Moi j’en sais rien, juste que cela chatouillait ma libido et j’avais bien envie d’essayer.
Après avoir recueilli le maximum d’information sur le sujet, je décide de passer à l’action et de jouer les transformations. Oui, je sais, je suis du pays du rugby et chez nous tout essai se doit d’être transformé. Je prépare donc la provocation qui poussera Monsieur Georges à réclamer cette punition pour moi. Mes talents de chipie ne sont plus à démontrés et c’est avec art et respect que j’arrive à pousser la super punition : « Mira, tu seras fessée aux orties pour toutes tes impertinences », me dit d’un ton sévère Maître Ours. « Et nous le ferons à quatre mains, cela t’apprendra à te conduire correctement. » Imaginez une seconde le choc de l’annonce. Quatre mains tenant une branche d’ortie tel une retraite au flambeau revue et corrigée par mes fesseurs motivés. Ah moins que ce ne soit pour se protéger du soleil qui se jour-là nous avez bien gâté de ses rayons. Mais je me berçais d’illusion, la vérité était tout autre : une sévère fessée se préparait. Oui, j’étais comme vous, j’ai avalé ma salive et intérieurement j’ai émis un énorme « oups ». Et d’un autre côté, celui un peut être plus maso, jubilait à l’idée de cette expérience enfin renouvelée.
Le jour J de la fessée arrivait. Maître Ours avait décidé d’emmener Monsieur Georges et Chipinette à Hourquette. C’est un lieu magnifique des Pyrénées. Et devinez ce qu’on y trouve en cette saison … Allez je vous le mets dans le mille … Oui bravo, des orties. Maître Ours s’arrête devant un super paysage au creux de la vallée. La montagne majestueuse nous entoure et son ruisseau plein d’eau (si si je vous jure et en plus elle est très froide) coulait en direction de la vallée. Je pris quelques photos afin de compléter mes albums et de faire mes petites créations. Puis je me retourne et vois sur le petit pont un bosquet remplit d’orties. Vu que Monsieur Georges, Maître Ours et Chipinette étaient à côté, je me suis dit : « ah dommage pour moi, ils l’ont vu. » Mais que nenni. En fait, partis dans l’émotion que provoque ce lieu magique, aucun ne s’aperçut de la présence de ces plantes. Je m’approche et bien sûr, avec mon air innocent, je me concentre à prendre mes photos. J’ai tout le temps devant moi et fais plusieurs clichés avant de revenir au 4X4. « Qu’as-tu pris ma belle ? » me demanda Chipinette. Je lui montre les photos. « Oh mais tu as pris des orties ? Et Monsieur Georges qui est passé devant et ne les as pas vu. Tu ne crains pas qu’il s’en rende compte ? » Me dit-elle avec un sourire jubilatoire en pensant au spectacle de la soirée. Monsieur Georges quant à lui, avait vu mon manège et s’approcha de ma zone de prise de vue, vit les orties, fit demi-tour, pris des gants sensés le protéger de leurs attaques et repart en cueillir suffisamment pour le repas du soir. Enfin, c’est ce que j’avais envie de croire à ce moment-là, car malgré mon grand courage, j’appréhendais beaucoup cette fessée.
Le soir venu et le repas terminé, Monsieur Georges s’adresse à Chipinette :. « Chipinette, peux-tu faire la vaisselle, nous souhaitons offrir le dessert à Mirabelle. Une omelette clownéenne. » Une omelette clownénne ? Mais kezako, encore un truc de fou. Il en a de ces idées Monsieur Georges. Puis Maître Ours pris la relève : « Aller Mirabelle, installe-toi sur le canapé. Dépêche-toi. » J’ai une énorme boule qui s’installe dans ma gorge. Je ne suis pas du tout tranquille et l’appréhension est à son comble. Maître Ours me lève la robe et me baisse ma culotte. Monsieur Georges de son côté, essayait de sortir le magnifique bouquet d’orties. Les racines devaient gêner la manœuvre et malgré le temps d’attente dans leur confinement, elles étaient encore bien rebelles. « Aie ! » « Mais c’est pas possible. » « Ça pique ces plantes et ça brûle. » Monsieur Georges rencontrait de toute évidence quelques difficultés à récupérer son jouet pour ma punition. Maître Ours à son tour mis la main dans le sac, et non il n’a pas trouvé de l’or, mais seulement les orties qui comme par magie qu’il saisit sans la moindre piqûre. J’en déduis dans mon coin, que le cuir de l’ours et plus épais que celui d’un clowné. Certes j’apprenais quelque chose de nouveau, mais cela n’a rien changé à la suite du programme. Monsieur Georges était surpris. Maître Ours lui tend quelques branches. Chipinette s’était dépêchée à terminer sa corvée (ou Monsieur Georges et Maître Ours étaient peut très long pour attraper les orties, je n’ai pas la bonne réponse là, je pencherai pour la solution entre parenthèse) pour
venir assister au spectacle ... Euh non ! Pour me soutenir dans ma terrible punition et souffrir à mes côtés (en pensées seulement).
Viens alors mon tour et c’est avec douceur qu’ils me caressèrent tous les deux avec des branches d’orties. Soudain mes fesses se contractèrent devant la douleur de cette limaille de verre qui me frappait avec violence suivi d’une forte chaleur qui se diffusait sur la zone ciblée. Contrairement à la fessée de la veille je n’allais pas du tout vers la plante. Ses vertus aphrodisiaques sont aussi valables pour les filles soi-dit en passant. Je m’attendais à bien pire, car mon souvenir me paraissait bien plus cuisant. Maître Ours inquiet de la chaleur qui se dégageait de mes fesses pris l’initiative de pulvériser de l’eau fraîche sur les fesses et les cuisses. Et dans la minute qui suivit, l’effet de chaleur s’estompa. La fessée repris de plus belle et cette fois à la place des caresses qui étaient une manière de me familiariser avec la plante, ils poursuivirent avec un petit fouettage en bon et due forme. Et là, oh bonne mère, la limaille de verre et les piqûres de l’ortie semblaient profondément s’enfoncer dans mes fesses.
Par sécurité Maître Ours et Monsieur Georges décidèrent que cela était bien suffisant pour une première. Chipinette qui avait profité de la situation pour s’entraîner à la prise de photographie artistique, poursuivait ses prises de vue afin d’alimenter son documentaire personnel sur les effets d’une fessée aux orties. Va-t-elle nous faire un livre de recette là-dessus. ? Après tout l’omelette clownéenne c’est froid à l’extérieur et chaud à l’intérieur. L’inverse de l’omelette norvégienne, quoi. Puis Maître Ours m’appliqua la crème anti-urticant acheté en pharmacie. J’aime toujours autant ces moments où les mains de mon Maître viennent me rassurer et me soigner.
J’ai découvert bien après cette fessée qu’en fait, la douleur avait été diminuée du fait que les orties avaient déjà perdu une bonne partie de leur effet urticant malgré cette période qui leur est la plus propice. Cela reste quand même une fessée douloureuse que j’ai vécue avec beaucoup d’appréhension et donc cela l’a rendu bien plus dur à supporter. Mais j’ai adoré et je suis prête à le refaire. Merci Maître Ours et vous Monsieur Georges de m’avoir permise de faire cette expérience en toute sécurité.